CTC, le choix logique, selon Bert Rebry et son épouse Katrijn

Bert: La maison, un bel-étage dans une construction semi-ouverte datant de 1970, avait tout pour en faire un "beau défi". Tout d'abord, nous avons dû isoler la maison et la rendre étanche. Après tout, dans les années 1970, il n’était pas encore question de la PEB. Une obligation d'isolation était encore une perspective lointaine et un climat intérieur sain n'était pas encore un problème. En bref, il y avait beaucoup de travail à faire. Il était également relativement urgent de remplacer la chaudière à gaz surdimensionnée.

Le toit a été traité avec de l'isolant PUR pulvérisé et les murs creux ont également été remplis d'isolant floqué. Les portes et fenêtres en bois, à travers lesquelles le vent soufflait pour ainsi dire, et avec lesquelles le bruit du trafic passant était très gênant, ont été remplacées par des fenêtres en matière synthétique avec du vitrage à haut rendement.

Avec ces ajustements, nous avions déjà avancé d’une longueur. L'installation de chauffage était constitué de radiateurs en fonte. Pourrions-nous continuer à les utiliser, en sachant que nous avions besoin de la température de départ la plus basse possible lorsque nous utiliserons une pompe à chaleur? Après étude, il s'est avéré que la plupart des radiateurs étaient surdimensionnés pour cette maison par rapport à la puissance nécessaire, et que nous pouvions donc les conserver sans risque. Pour le séjour, par souci de sécurité nous avons décidé de remplacer les radiateurs par des ventilo-convecteurs d'une marque renommée.

Bert: Au cours de cette première année, et aussi maintenant avec les jours plus froids que nous avons eus dans la période de décembre - janvier, il était important de bien garder l’œil sur la température de départ et surtout de la maintenir aussi basse que possible. Car une température de départ élevée ou basse a un impact sur le COP (coefficient de performance) et l'efficacité de tout système de pompe à chaleur. Sans avoir été obligé à faire de compromis sur les exigences de confort, nous avons réussi à limiter la température de départ vers les radiateurs et les ventilo-convecteurs à un maximum de 40°C. Donc la première mission était déjà réussie. Ici, la régulation intelligente de CTC a joué un rôle très important”.
Katrijn, l’épouse de Bert: “moi-même, je travaille de nuit en tant qu'infirmière, donc je suis souvent à la maison pendant la journée. Le chauffage est toujours réglé sur une température intérieure de 20 degrés pendant la journée. Le soir, nous atteignons facilement 21 °C et il fait agréablement chaud dans la maison. Je n'ai jamais remarqué que nous devions sacrifier du confort lors du fonctionnement, comme Bert vient de le souligner.

 
CTC: Vous avez choisi une pompe à chaleur modulante EcoAir 622M, de type air/eau. De plus, vous avez choisi le tampon multi-énergie intelligent EcoZenith i555 PRO. Quelle en était la raison?

Bert: Nous avons évidemment choisi une pompe à chaleur modulante. Après avoir effectué moi-même un calcul approfondi des pertes de chaleur, je suis arrivé à une puissance nécessaire de 10 kW pour toute la maison. Avec la pompe à chaleur modulante, je suis sûr que la pompe à chaleur ne produira que la puissance requise par les besoins de confort, en fonction de la température extérieure, etc. Après tout, l'EcoAir 622M commence déjà à moduler à partir de 4,5 kW.

En tant qu'ambassadeur CTC, j'ai trouvé évident d'avoir le produit phare de CTC dans ma maison. D'où mon choix immédiat pour le tampon multi-énergie EcoZenith i555 PRO. En plus, je voulais intégrer les capteurs solaires existants dans l'installation du chauffage et donc ne pas les utiliser uniquement pour la production d'eau chaude sanitaire. Avec l'EcoZenith i555 PRO, qui est de base équipé d’un serpentin interne pour les capteurs solaires, il a été très facile de connecter ces capteurs solaires au réservoir tampon.

Bert: Le coût des composants de l'installation de CTC en air/eau est à peu près le même que celui du sol/eau (géothermique). Cependant, il faut ajouter le coût du forage ou de l'installation du réseau de capture, ce qui, dans mon cas, représenterait un sérieux surcoût. Le forage aurait causé également quelques inconvénients dans notre cas. Le jardin, l'allée et l'arrière de la maison avaient déjà été mis en ordre. Selon ma femme Katrijn, ce n'était pas une bonne idée de donner l'accès à ces machines plutôt robustes et d’y avoir un forage.

Maintenant, nous pouvons bien supposer qu'une pompe à chaleur géothermique atteint des rendements plus élevés qu'une pompe à chaleur air-eau. Cependant, il ne faut certainement pas sous-estimer l'efficacité d'un système air/eau CTC par rapport à une pompe à chaleur géothermique. Je surveille très bien l'installation via des calorimètres, des compteurs de kWh et l'application "Smappie". Après un an d'utilisation, je constate une rentabilité d'un peu plus de 400 % (un COP moyen de 4,2). Je pense que c'est un très bon score pour une maison comme la nôtre.

Bert: J'ai été stupéfait par les résultats! Avec mon ancienne chaudière à gaz, ma consommation était de 18.500 kWh/an. Cela revient à 1.850 m³ de gaz. Avec l'installation de la pompe à chaleur CTC, j'observe une consommation de 4.600 kWh d'énergie primaire électrique! Alors qu'auparavant, le gaz était le leader absolu en termes de prix, je constate que mon installation avec la pompe à chaleur de CTC entraîne désormais un gain de consommation très important et, par conséquent, une facture énergétique moins élevée.

Avec ces propres constatations, je n'ai pas besoin de vous dire que je suis très heureux d'en parler à mes clients et clients potentiels. Pour les nouvelles constructions, je ne jure que par une pompe à chaleur. Ceci est incontestable. Dans les cas de demande de remplacement, je ne manquerai pas de présenter la possibilité d'utiliser la pompe à chaleur et de la proposer au client si possible. Car lors d'une rénovation, il est nécessaire de vérifier très soigneusement si une pompe à chaleur est possible ou non. Tenant compte des trois règles d’économies d'énergie (Trias-energetica) et la règle des basses températures de départ sont des sujets sacrés à traiter dans ce contexte. 

Bert: “J'ai un compteur d’électricité numérique. Il ne revient pas en arrière, il était donc évident d'en tenir compte. C’est pourquoi la fonction Smart Grid de CTC est très importante! J'ai réglé la partie inférieure du réservoir tampon EZ i555 PRO, qui sert principalement au chauffage, sur une température de base de 40°C. J'ai réglé la partie supérieure, qui est en charge de l'eau chaude sanitaire, à 45°C en standard. Les deux parties sont donc réglées en mode éco, ce qui nous donne un confort plus que suffisant.

En cas de surproduction de nos panneaux photovoltaïques, cette surproduction sera convertie en réserve thermique, ce qui portera les tampons à une température plus élevée, par exemple à 65-70°C pour les deux. Par conséquent, la pompe à chaleur aura beaucoup moins d'heures de fonctionnement au moment de la demande de chaleur. Ce qui constitue donc un bel avantage. Les solutions de pompes à chaleur CTC sont également équipées du module "tarifs de capacité". Il y aura bientôt un tarif de capacité pour les utilisateurs du réseau électrique en Flandre. Le résultat final en sera que les coûts de distribution que l'utilisateur final paie sur sa facture d'électricité ne seront plus facturés en fonction du nombre de kWh d'électricité consommés. Dès lors, la "consommation de pointe" par quart d'heure sera en partie prise en considération. Plus ces pics seront élevés, plus l'utilisateur final paiera.

Ma régulation CTC est équipée de telle sorte que la consommation de pointe de la pompe à chaleur peut être réduite en arrêtant "momentanément" le système ou en le faisant fonctionner à une capacité inférieure. Avec un système lent comme une pompe à chaleur, cela n'a vraiment pas d'effet sur le confort. J'ai réglé ce module sur une consommation de pointe à partir de 8 kW. Par conséquent, ma facture d'énergie n'indiquera pas la "pénalité pour consommation de pointe.

Katrijn: Je ne suis pas très technique moi-même, mais je peux parler en mon nom de l'installation de la CTC. Tout d'abord, je suis très satisfait de la facilité d'utilisation. Une fois l'installation en place, j'ai remarqué que nous n'avions plus à nous en soucier. Si je veux quand-même régler quelque chose, comme une température intérieure plus élevée, un peu plus de capacité pour l'eau chaude sanitaire ou autre, je le fais très facilement via mon smartphone avec l'application CTC. Cette application fonctionne de manière très intuitive et est très accessible pour l'utilisateur final.

J'étais également un peu préoccupé par les éventuelles nuisances sonores de l'unité extérieure. Après tout, l'EcoAir a l'air très robuste hein. Bert m'avait rassuré auparavant, mais mais l'ayant constaté moi-même maintenant, je peux confirmer que la pompe à chaleur CTC fonctionne quasiment sans bruit. Je suis moi-même fier que l'unité extérieure se trouve à côté de notre porte d'entrée, car elle peut également servir de panneau d'affichage pour l'entreprise d'installation de Bert. Parfois, des passants frappent spontanément à notre porte pour en savoir plus sur l'installation de la pompe à chaleur. Une excellente publicité donc.

Bert: Je voudrais dire quelque chose à propos de la compacité. L'installation couvre beaucoup de choses. En plus du réservoir tampon et de l'unité extérieure, j'ai également connecté mes capteurs solaires au système. En plus de cela, j'ai quelques instruments de mesure pour moi sur l'installation, comme des calorimètres et des compteurs de kWh et autres. Les solutions CTC m’émerveillent toujours. Lorsque j'ai terminé de les assembler et de les installer, je constate que nous avons pu le faire de manière très compacte à chaque fois. Cela est dû en partie au réservoir tampon EZ i555 PRO, qui constitue un ensemble très ingénieux réuni en un seul. Pour moi, il est simplement unique.

Bert: “L'avenir sera sans fossile, c'est certain. Une installation de pompe à chaleur de CTC est très facile à mettre en place. CTC veille à ce que vous soyez bien guidé lorsque cela est nécessaire et je suis très satisfait du service de leurs experts. Une bonne étude préliminaire est cruciale, surtout pour les travaux de rénovation. Ici aussi, vous pouvez toujours compter sur les gens de CTC. J'ai moi-même pu obtenir le numéro de téléphone portable du technicien sur simple demande. Ça en dit long, n'est-ce pas?

Si vous choisissez CTC, vous choisissez le meilleur. Les pompes à chaleur CTC sont de type monobloc. Les interventions frigorifiques (lire : certification et réglementation en matière de frigorifique) ne sont pas d’application avec ce type. La pompe à chaleur est livrée " sortie d'usine " et ne nécessite aucune intervention frigorifique. Une solution idéale pour tout installateur de chauffage!

Trias énergétique: Le trias énergétique est revenu régulièrement dans la discussion. Le trias énergétique nous en dit plus sur les 3 étapes importantes pour la conception durable des bâtiments.

Ces 3 étapes sont:

1. Réduire la consommation d'énergie en éliminant les gaspillages, par exemple en concevant des bâtiments compacts ou en isolant l'enveloppe extérieure (façades, toits et sols).
2. Utilisez au maximum l'énergie provenant de sources renouvelables, comme le vent, l'eau et l'énergie solaire; par exemple, en installant un chauffe-eau solaire ou des panneaux solaires
3. Utilisez les sources d'énergie (fossiles) aussi efficacement que possible pour répondre à la demande d'énergie résiduelle, par exemple en chauffant à basse température (souvent sous forme de chauffage par le sol), en limitant la longueur des tuyaux d'eau chaude et la résistance des tuyaux des systèmes de chauffage et de ventilation ou en utilisant une pompe à chaleur.

Le schéma hydraulique de l'installation de la pompe à chaleur de Bert et Katrijn: Le schéma montre la pompe à chaleur, l'EcoZenith i555, 2 circuits de chauffage, l'eau chaude sanitaire et les capteurs solaires.